Du très bon Mankell ! Mais y a-t-il du mauvais Mankell ? Wallender, bien entendu, et ses éternelles angoisses. Mais ici les attaques contre le monde capitaliste des affaires et de la mondialisation y sont encore plus évidentes que d'habitude. Le monde scandinave des auteurs de polars et de séries n'a pas fini de me surprendre. Hier, sur Arte, une nouvelle série danoise : Le Tueur de l'ombre.
(L'Homme qui souriait, Henning Mankell. Ed. du Seuil. Trad. de Anna Gibson.)
Du coup tu t'es trompé dans le titre du Mankell !
RépondreSupprimerPlume : merci à toi. J'ai l'esprit perturbé par la nouvelle formule de Blogger (imposée) qui m'horripile !
RépondreSupprimerIl est génial ce Mankell, un vrai écrivain !
RépondreSupprimerje relis depuis hier Le cerveau de Kennedy.
Tu sais, il y a deux bouquins de lui qui passent un peu inaperçus et qui ne sont pas des polars : Le Dynamiteur, très bien écrit à l'âge de 25 ans, ce sont les espoirs trahis de la sociale-démocratie suédoise et son dernier livre Sable mouvant écrit l'année avant son décès et qui replace la condition humaine dans l'espace où nous vivons de manière très réaliste...
Chroum : merci pour les titres. En polar, je viens aussi de trouver "Avant le gel".
RépondreSupprimer