La fin du film de Claude Chabrol, Que la bête meure (1969). Surtout pour Kathleen Ferrier, une des rares voix que je reconnais à la première note. Ici, elle chante un extrait de Vier Ernste Gesânge (Quatre Chants sérieux), de Brahms : « Denn es gehet dem Menschen wie dem Vieh » (« De fait, le sort de l'homme et celui de la brute est le même »). »
Mais trente secondes, c'est trop frustrant quant il s'agit de Ferrier. Voici l'intégrale du morceau (Premier Chant) :
ah moi aussi je l'ai reconnue, faut le faire (j'ai dû n'entendre sa voix que quelques secondes ici) et puis aussi pour tous les coins que j'ai parfois reconnu à l'arbre près (les magnolias de Quimper entre autres)
ah moi aussi je l'ai reconnue, faut le faire (j'ai dû n'entendre sa voix que quelques secondes ici)
RépondreSupprimeret puis aussi pour tous les coins que j'ai parfois reconnu à l'arbre près (les magnolias de Quimper entre autres)
Karagar : la (re)connaaissance des lieux me manquait, à moi. J'espère que tu apprécies cette voix.
RépondreSupprimer