Cornus : tu connais mon amour pour ce peintre italien, amour encore augmenté après la lecture du roman de Dominique Fernandez, La Course à l'abîme.
Karagar : c'est exactement cela. En tout cas, c'est ce que je ressens devant chaque tableau du Caravage. Peut-être (sûrement) est-ce pour cela que je l'aime tant.
Plume : c'est vrai, on est loin du dolorisme et du côté saint-sulpicien que j’exècre !
Voilà qui est une belle série.
RépondreSupprimersensuel !
RépondreSupprimerSensuel ô combien, mais plus sombre et violent que doloriste, ce que j'aime avec Caravage.
RépondreSupprimerCornus : tu connais mon amour pour ce peintre italien, amour encore augmenté après la lecture du roman de Dominique Fernandez, La Course à l'abîme.
RépondreSupprimerKaragar : c'est exactement cela. En tout cas, c'est ce que je ressens devant chaque tableau du Caravage. Peut-être (sûrement) est-ce pour cela que je l'aime tant.
Plume : c'est vrai, on est loin du dolorisme et du côté saint-sulpicien que j’exècre !
Oui, je connais ton amour pour ce peintre, ce qui est d'ailleurs assez compréhensible, car il n'est pas trop mauvais ! :-)
RépondreSupprimerCornus : tu as l'art de la litote !
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