Georges Chelon : en voilà un que j'écoutais dans les années soixante. Un chanteur à texte au milieu de la vague des yéyés (que j'aimais bien aussi pour certains, Françoise Hardy par exemple). Lui, on ne peut pas dire qu'il encombre les ondes radiophoniques....
Comment se fait-il que je ne le connaisse pas ? Parce que quand même, c'est bien... J'en ai écouté plusieurs. C'est sûr que ce n'est pas drôle, mais j'aime bien.
Comment se fait-il que je ne le connaisse pas ? Parce que quand même, c'est bien... J'en ai écouté plusieurs. C'est sûr que ce n'est pas drôle, mais j'aime bien.
RépondreSupprimerCornus : effectivement, on ne s’esclaffe pas à chaque couplet.
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