- Je n'aime toujours pas les fêtes de fin d'année. Je l'ai déjà dit, je ne vais pas m'étendre. Mais voir ces avalanches de bouffe dans les magasins me dégoûte et cette profusion de lumières me saoule.
- L'autre jour, en rentrant par le métro, je fais un faux pas sur l'escalator et bouscule très légèrement la dame derrière moi, ce dont je la prie immédiatement de m'excuser. Mais j'étais visiblement tombé sur une mégère qui a commencé à m'insulter et que j'ai fini par envoyer paître. Un moment de plus et elle était capable de m'accuser de harcèlement !
- A la parfumerie, après l'achat de mon eau de toilette habituelle, la vendeuse me dit : "Désolée, je ne peux vous offrir d'échantillons gratuits : en cette période de fête, je n'ai que des échantillons de parfums pour femmes. " C'est peut-être pour ça que mon bonhomme chez Emmaüs sentait si fort. Et moi qui l'accusait d'être sale ! Mais n'est-ce pas du sexisme, cette réponse ?
J'ai déjà bousculé des dames dans un magasin (ou marché sur les pieds - oui je suis parfois maladroit), mais après les excuses immédiates, aucune ne m'a insulté. C'est incroyable quand même, surtout te connaissant.
RépondreSupprimerTon histoire à la parfumerie m'a fait incroyablement rire (ainsi que Fromfrom).
Cornus : oui, tu me connais, mais pas quand je me mets en colère ! Elle, elle a connu ce jour-là ! Et je ne regrette pas !
RépondreSupprimerJe comprends que quand on ne fait pas exprès de pousser mémé dans les orties et qu'on s'en excuse, elle n'a pas à se rebeller. Elle ne méritait donc que d'être jetée non seulement dans les orties, mais aussi dans les ronces, les églantiers, les prunelliers, les épines du christ...
RépondreSupprimerLa mégère ! Moi aussi j'ai bien ri. Joyeux Noël cher Calyste.
RépondreSupprimerAnna
Cornus : calme-toi, Cornus, calme-toi....
RépondreSupprimerAnna : très heureux de te retrouver. Merci. J'espère que le tien fut bon aussi.