Pont Bonaparte (Saône) : en me voyant prendre des photos, une femme m'aborde. Même sentiment de beauté pour ce coucher de soleil.
Place Bellecour : le silence, impressionnant, devant les hommages aux victimes parisiennes.
Pont de la Guillotière (Rhône) : une femme (encore) me parle. Le soleil a disparu. N'en reste que la splendeur du crépuscule.
Comme quoi, il y a encore des tas de raisons d'espérer de la beauté et de l'humanité.
RépondreSupprimertu fais dans le haïku maintenant?
RépondreSupprimerCornus : je suis comme toi : pessimiste par tempérament, optimiste par volonté.
RépondreSupprimerkaragar : pas fait exprès mais je prends ça pour un compliment.