Presque tous les jours, de bonne heure le matin, je file en voiture jusqu'à un parc hors la ville dans lequel je sais exactement l'emplacement du soleil et de l'ombre à telle ou telle heure. Je m'installe sur un des rares bancs et je lis. Parfois je m'endors en piquant du nez. Maintenant je n'hésite plus à m'allonger sur ce banc et à piquer un petit somme, presque sûr de ne pas être dérangé.
Au réveil, la beauté du ciel et de la frondaison au-dessus de ma tête. Et parfois, discret, un léger souffle d'air.
Agréablement rafraîchissant ce billet …
RépondreSupprimerSi tu pouvais dire vrai ....
SupprimerCes jours-ci je pense à toi souvent et je compatis. Déjà que je m'étiole dans mon donjon-bouilloire, avec seulement 28 ou 30°, je crois que je serais complètement cannée par chez toi...
RépondreSupprimerMoi, je peux sans doute davantage bouger que toi, ce qui me sauve ....
SupprimerOui, cela doit être terrible par chez toi. Mon père s'en tire dans son salon avec la clim, mais en dehors de son salon, la chaleur est écrasante.
RépondreSupprimerPas de clim chez moi, mais le noir toute la journée et fenêtres ouvertes la nuit (du moins celles qui ne donne pas sur les travaux de la rue !)
SupprimerNous avons des mais toulousains qui sont venus s'occuper du chat et un peu d'arrosage l'été dernier. Cette année, nous n'avons pas eu à leur demander, ils se sont porté volontaires. Je ne pers pas la boule, il y a un rapport avec ce que tu nous racontes 😉
RépondreSupprimerJe vois très bien le rapport !!!!
Supprimeramis toulousains !
RépondreSupprimerCompris : je fais souvent la même faute de frappe.
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