En général, les écrivains japonais ont une inspiration frisant le "malsain" (ceci dit sans jugement de valeur). En lisant ce court roman, j'ai souvent pensé (encore une fois) à Yoko Ogawa, avec cette fois-ci, à mon avis un peu moins de talent, même si ce roman a obtenu le prix Akutagawa, le Goncourt japonais. On ne peut pas résumer un tel livre qui part parfois un peu dans tous les sens. Disons, pour être bref qu'on y parle, mine de rien, de transmutation.
Motoya Yukiko, Mariage contre nature. Ed. Picquier. Trad. de Myriam Dartois-Ako.)
transmutation nucléaire ou alchimie ou autre chose ?
RépondreSupprimerCornus : morphologique.
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