De Margaret Atwood, la romancière canadienne, je ne connaissais que
La Servante écarlate, par une série télé que j'avais appréciée. Je ne peux dire la même chose de ce roman, u ne quête œdipienne du père sur une île aux confins du Canada et des États-Unis. Si le début en est assez classique, la suite est plus surprenant, et assez ingrate à lire quand , comme moi, on ne cherche plus dans la lecture, qu'un divertissement, au sens pascalien du terme.
(Margaret Atwood, Faire surface. Ed. Robert Laffont. Trad. de Marie-France Girod.)
Bon j'en connaissais une bonne moitié, mais cela reste amusant.
RépondreSupprimerCornus > L'erreur d'aiguillage de ton commentaire est également très amusant, appliqué à Margaret Atwood.
RépondreSupprimerCornus : et j'ai oublié Joseph Opinel ...
RépondreSupprimerPlume : la moitié de Cornus s'appelle Margaret ? Je croyais que c'était Fromfrom.