Ma sœur, qui l'avait en double, m'a donné ce roman noir japonais. J'y ai retrouvé, avec moins de subtilité, le délicat parfum d'"anormalité" que j'aime chez Yoko Ogawa.
Une femme a tout oublié de ses premières années d'existence (avant cinq ans) et demande à un ami de l'accompagner jusqu'à la maison isolée dont son père, en mourant, lui a indiqué par plan, l'itinéraire d'accès. Cette maison est-elle à l'origine de son mal-être ? De sa semi-amnésie ?
Je pense que ce roman ferait un excellent scénario de thriller au cinéma.
(Keigo Higashino, La Maison où je suis mort autrefois. Ed. Babel noir. Trad. de Yutaka Makino.)
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