jeudi 16 avril 2020

Et un peu de musique, ça vous dirait ? (277)

Aujourd'hui, la parole aux anticléricaux (ou presque) !

- La Marseillaise anticléricale, ou Chant des électeurs, (1881), de Léo Taxil, grand mystificateur qui aurait baigné dans son jus à notre époque de fake news.



-La Messe au pendu, un Brassens assez méconnu.



- La Religion, par Jacques Debronckart.



- Le Sabre et le goupillon, Jean Ferrat. J'ai ce disque, avec cette pochette, depuis mon enfance et j'en connais, depuis l'enfance, les paroles par cœur. Je ne me pose qu'une question : comment ma mère me permettait-elle d'écouter cette chanson ? Pour mon père, je sais.



In memoriam à ce prêtre qui, à la mort de ma petite sœur de 11 ans (j'en avais 18), avait trouvé pour me consoler ces mots inoubliables : "Tu la retrouveras au paradis"..... A l'époque, en me disant ça, il m'avait fait prendre le chemin inverse.

4 commentaires:

  1. "A l'époque, en me disant ça, il m'avait fait prendre le chemin inverse." c'est à dire?

    RépondreSupprimer
  2. Je ne connais la première (depuis peu il me semble), la deuxième et bien plus encore la quatrième, mais pas la troisième, ni l'interprète il me semble.
    Quant au commentaire du curé à la mort de ta petite sœur, de quoi avoir envie de l'étrangler (au minimum).

    RépondreSupprimer
  3. je voulais dire, ça a été de courte durée ...

    RépondreSupprimer
  4. Karagar : en es-tu sûr ? Moi à moitié. En tout cas, ça ne pourra jamais être comme c'était.

    Cornus : moi, je ne connaissais ni La Marseillaise anticléricale (entendue sur France Inter le matin-même), ni La Religion, même si je connaissais Debronckart.
    Le curé, je n'éi jamais pu lui pardonner une telle connerie.

    RépondreSupprimer