Je ne sais que penser des romans d'Umberto Eco. Chaque fois (Le Nom de la rose, Le Pendule de Foucault), j'en ressors avec un avis assez mitigé. Certaines parties me plaisent, d'autres m'ennuient considérablement.
Il en va de même pour Le Cimetière de Prague. De quoi est-il question ? Difficile de résumer. D'un dédoublement de personnalité, de complots maçonniques, jésuitiques, sataniques, judaïques, et de bien d'autres choses.
Mais j'ai souvent l'impression que l'auteur se livre à une compilation de savoirs (certes pointus) qui alourdissent considérablement le propos et qui font que l'on en perd parfois le fil. Intellectuel donc (et ça, je ne déteste pas) mais parfois bien indigeste.
(Umberto Eco, Le Cimetière de Prague. Ed. Grasset. Trad. de Jean-Noël Schifano.)
je n'ai lu que le Nom de la rose, de lui, qui est un des livres que j'ai eu le plus de plaisir à lire...
RépondreSupprimerKaragar : c'est, de loin, celui que j'ai préféré moi aussi. En revanche, très refroidi par Le Pendule de Foucault.
RépondreSupprimerC'est exactement ce que j'en ai pensé, à tel point que j'ai fini par laisser tomber.
RépondreSupprimerChristophe : nous avons souvent des goûts communs, il me semble, en matière de littérature. Heureux d'avoir "un peu" de tes nouvelles.
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