Je viens enfin de terminer de charger sur Flick'r les photos de mon voyage à Rome en mai dernier, soit 336 clichés sur les presque 500 pris pendant ces six jours de vacances romaines.
Une bonne occasion de revoir les lieux, de revivre les moments, de retrouver les odeurs et la lumière du Latium. Étrangement, ce séjour me semble à la fois très proche et très éloigné dans le temps. Proche parce que les sensations en sont encore vives, parce que nous en parlons souvent avec Frédéric et Jean-Claude et que nous sommes contents de l'avoir fait ensemble. Éloigné parce que la fin d'année scolaire est passée après là dessus et que ce n'est pas vraiment un moment de farniente, contrairement à ce que l'on pourrait penser.
Malgré l'affluence, je crois que nous avions choisi la bonne période pour faire ce voyage. Le temps a été parfois capricieux mais jamais nous n'avons souffert d'une trop forte chaleur, ce qui est fréquent en plein été. Je me souviens de certains séjours en Italie où la température, particulièrement à Rome, réduisait très vite les plus belles ardeurs. N'étant pas un adepte forcené des plages et des trempettes, j'y voyais plus un inconvénient qu'un avantage. Cette fois-ci, ce fut au contraire très agréable, d'autant que nous avons su savamment doser visites et temps de repos.
Pour ceux que ces photos intéressent, il suffit de cliquer juste en dessous du rectangle où elles défilent, à droite de cet écran.
ATTENTION, VACHERIE (à mon avis, certaines personnes ne pensent pas loin de ça)
RépondreSupprimerBien sûr que non, les profs, ça n'en fout pas une ramée de l'année : ça se donne en spectacle devant leurs élèves en les faisant jouer à Sherlock Holmes, faire le pitre ou fabriquer des monstres improbables. Pour le temps qui reste, c'est-à-dire tout au plus une heure ou deux dans l'année, il y a le cours à préparer qu'ils reprennent texto des années précédentes depuis au moins 20 ans. Et les copies à corriger ? Livrées à l'aléatoire ou au poids : jetées du haut des escaliers celles qui tombent le plus loin ont les meilleures notes. Le reste est de l'amusement et des vacances !
Il faudra que j'aille voir ces photos de plus près. Merci de partager tout ça.
Cornus: mais ce n'est pas possible! Tu étais dans le placard du fond, à épier, ou quoi? Mon cher ami, c'est EXACTEMENT comme ça que ça se passe! Mais sur les deux heures de cours restantes, tu as oublié de décompter les pauses café et cigarettes (café au singulier et cigarettes au pluriel)!
RépondreSupprimerEt les papotages incessants entre profs à ne pas oublier non plus, surtout consacrés à dire du mal des uns et des autres.
RépondreSupprimerCurieux, je décris un anti-Calyste.
Cornus: si l'on inclut les médisances, il faudrait abréger les vacances scolaires!
RépondreSupprimerAh ben, on en parle, justement. Comme ça, ils n'iront plus perdre leur temps à Rome et ailleurs, tous ces glandos.
RépondreSupprimerLancelot: on va les mettre au travail, ces faignasses!
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