Que dire ? Un titre attirant, un auteur italien, un traducteur intelligent, des caractères pas trop petits (eh oui, ça compte à mon âge !). Alors, tout va bien ? Oui et non : j'ai de plus en plus de mal à rester concentré sur ce que je lis si ce que je lis ne m'absorbe pas complètement (c'est la même chose devant certains épisodes de séries télé) : alors je m'envole, mais pas comme le colibri. je ne fais pas du surplace. Je suis bien plus loin quand j'atterris. Parfois, le fil est facile à renouer, parfois pas.
Dans ce roman, certains passages m'ont captivé, j'en ai sauté quelques autres, principalement parce que la structure de la narration est trop complexe, j'irais même jusqu'à trop précieuse.
(Le Colibri, Sandro Veronesi. Ed. Grasset. Trad. de Dominique Vittoz.)
Alors, tu fais de la lecture automatique quand cela t'ennuie. J'ai connu ça très jeune et cela ne m'a pas quitté. Cela m'arrive pour presque tous les types de littérature ou de textes non littéraires.
RépondreSupprimerEn fait, dans les passages que je saute, je prends quelques mots par ci par là et je reconstitue à ma façon.
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