Il peut désigner le linge ayant recouvert son visage (la Sainte-Face) et le linceul ayant servi à envelopper son corps après sa mort. Le mot "suaire" est dérivé du latin sudarium (dérivé de sudare, suer) pour désigner un mouchoir servant à essuyer la sueur du visage. Ensuite, il désigne le linge qui recouvre le visage du défunt.
- suaire de Turin
- suaire de Compiègne
- suaire de Besançon
- suaire de Cadouin
- suaire de Chambéry
- suaire de Lierre (Belgique)
- suaire d'Oviedo (Espagne)
Sans compter la Sainte Face (ou voile de Véronique) : Milan, Rome Italie), Jaén (Espagne)
Justement, confusion bien entretenue entre réalité et icônes. Une façon de jouer sur les ambiguïtés et de prendre les gens pour des andouilles... Exemple de manque d'honnêteté et de transparence : le saint Suaire de Turin s'est révélé être médiéval en 1988-89 à la suite de datations au Carbone 14 et récemment, elle refuse d'autres investigations scientifiques.
RépondreSupprimerTout à fait juste pour Turin
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